Une nuit au château
La nuit se passa sans encombre et après un solide petit-déjeuner ils se remirent en route. Ils arrivèrent à la fin de la vallée et débouchèrent devant une grande plaine ou trôner un immense château avec une tour qui devait faire plusieurs centaines de mètres de haut.
- Nous y voilà ! Fit Melaine.
- J’espère qu’il va nous laisser rentrer ! Fit Yann, sinon vu la hauteur de la muraille, nous risquons d’avoir des soucis.
- Regardez ! Fit Renaud, le dragon.
- J’ai vu ! Il ne vient pas vers nous ! Fit Jean Barth.
- Non ! On dirait qu’il s’en va à l’opposé.
- Tu as raison Yann. Allons-y, descendons dans la vallée, Fit J.-B.
Ils continuèrent sur le chemin qui allé apparemment jusqu’au château du magicien. Nous ne savons même pas comment il s’appelle se dit Jean Barth. Et je n’ai pas pensé à le demander à Milèna en partant de chez elle. Le chemin qu’ils prirent ne semblait pas avoir de pièges et paraissait très sécurisant en comparaison des routes qu’ils avaient prises jusqu’à maintenant.
- Nous serons obligés de bivouaquer dans cette vallée car ça m’étonnerait que nous arrivions avant ce soir au château !
- Nous sommes en sécurité dans cette vallée, j’en suis persuadé ! Fit la princesse.
- Et comment peux-tu en être aussi sûr Melaine ?
- Je le ressens au fond de moi Yann !
- Tu as changé depuis quelques jours !
- C’est vrai que je ressens plus de choses qu’avant.
- Les garde-t-on fait quelque chose avant que l’on vienne te libérer ?
- Non ! C’est depuis que je porte le médaillon sur moi !
- Et toi J.-B., tu n’as rien ressenti quand tu le portais ?
- Non ! Fit Jean Barth. Rien du tout !
Ils étaient maintenant dans la vallée et le froid se fit plus perçant au fur et à mesure qu’ils se rapprochaient du château. Comme l’avait dit Jean Barth, la nuit les surprit alors qu’ils n’étaient qu’à la moitié du chemin pour arriver à la forteresse du magicien.
- Nous allons monter le camp ici, dit Renaud, avant que la nuit ne tombe complètement !
- Nous trouverons du bois sans peine dans cette vallée pour notre feu ! Fit Yann.
- Nous arriverons au château demain dans la matinée, je pense !
- Oui ! Peut-être en début d’après-midi corrigea Renaud, nous ne savons pas comment est le chemin plus loin !
- Yann ! Allons chercher du bois ! Fit Jean Barth.
Ils mangèrent sous les étoiles avec le château au-dessus d’eux. Les lumières étaient allumées et la citadelle prenait des airs de brasier, c’est comme si le château était en feu. On aurait dit que la citadelle les surveillait et pouvait à tout moment leur jeter des flammes qui les carboniseraient en quelques secondes. C’est Jean Barth qui prit le premier tour de garde et vint ensuite celui de Yann et enfin ce fut le tour de Renaud. Pendant la dernière partie de la nuit, Renaud s’assoupit sans s’en le vouloir et quelque chose s’envola de la haute tour du château et vint vers eux en silence. La chose tourna au-dessus du camp pour voir si personne n’était réveillé et descendit vers l’endroit où la princesse dormait. En quelques secondes la princesse s’envola dans les airs, inconsciente de ce qui lui arrivait et la chose la ramena vers la tour de la citadelle. La princesse fut déposée doucement sur le sol et le sorcier la prit dans ses bras et l’emmena vers la chambre qu’il lui avait réservée. Renaud se réveilla en sursaut et regarda autour de lui pour s’apercevoir qu’un couchage était vide et ce couchage était celui de la princesse. Il réveilla les autres en criant, la panique au ventre car jamais il ne s’était endormi pendant son tour de garde.
La nuit se passa sans encombre et après un solide petit-déjeuner ils se remirent en route. Ils arrivèrent à la fin de la vallée et débouchèrent devant une grande plaine ou trôner un immense château avec une tour qui devait faire plusieurs centaines de mètres de haut.
- Nous y voilà ! Fit Melaine.
- J’espère qu’il va nous laisser rentrer ! Fit Yann, sinon vu la hauteur de la muraille, nous risquons d’avoir des soucis.
- Regardez ! Fit Renaud, le dragon.
- J’ai vu ! Il ne vient pas vers nous ! Fit Jean Barth.
- Non ! On dirait qu’il s’en va à l’opposé.
- Tu as raison Yann. Allons-y, descendons dans la vallée, Fit J.-B.
Ils continuèrent sur le chemin qui allé apparemment jusqu’au château du magicien. Nous ne savons même pas comment il s’appelle se dit Jean Barth. Et je n’ai pas pensé à le demander à Milèna en partant de chez elle. Le chemin qu’ils prirent ne semblait pas avoir de pièges et paraissait très sécurisant en comparaison des routes qu’ils avaient prises jusqu’à maintenant.
- Nous serons obligés de bivouaquer dans cette vallée car ça m’étonnerait que nous arrivions avant ce soir au château !
- Nous sommes en sécurité dans cette vallée, j’en suis persuadé ! Fit la princesse.
- Et comment peux-tu en être aussi sûr Melaine ?
- Je le ressens au fond de moi Yann !
- Tu as changé depuis quelques jours !
- C’est vrai que je ressens plus de choses qu’avant.
- Les garde-t-on fait quelque chose avant que l’on vienne te libérer ?
- Non ! C’est depuis que je porte le médaillon sur moi !
- Et toi J.-B., tu n’as rien ressenti quand tu le portais ?
- Non ! Fit Jean Barth. Rien du tout !
Ils étaient maintenant dans la vallée et le froid se fit plus perçant au fur et à mesure qu’ils se rapprochaient du château. Comme l’avait dit Jean Barth, la nuit les surprit alors qu’ils n’étaient qu’à la moitié du chemin pour arriver à la forteresse du magicien.
- Nous allons monter le camp ici, dit Renaud, avant que la nuit ne tombe complètement !
- Nous trouverons du bois sans peine dans cette vallée pour notre feu ! Fit Yann.
- Nous arriverons au château demain dans la matinée, je pense !
- Oui ! Peut-être en début d’après-midi corrigea Renaud, nous ne savons pas comment est le chemin plus loin !
- Yann ! Allons chercher du bois ! Fit Jean Barth.
Ils mangèrent sous les étoiles avec le château au-dessus d’eux. Les lumières étaient allumées et la citadelle prenait des airs de brasier, c’est comme si le château était en feu. On aurait dit que la citadelle les surveillait et pouvait à tout moment leur jeter des flammes qui les carboniseraient en quelques secondes. C’est Jean Barth qui prit le premier tour de garde et vint ensuite celui de Yann et enfin ce fut le tour de Renaud. Pendant la dernière partie de la nuit, Renaud s’assoupit sans s’en le vouloir et quelque chose s’envola de la haute tour du château et vint vers eux en silence. La chose tourna au-dessus du camp pour voir si personne n’était réveillé et descendit vers l’endroit où la princesse dormait. En quelques secondes la princesse s’envola dans les airs, inconsciente de ce qui lui arrivait et la chose la ramena vers la tour de la citadelle. La princesse fut déposée doucement sur le sol et le sorcier la prit dans ses bras et l’emmena vers la chambre qu’il lui avait réservée. Renaud se réveilla en sursaut et regarda autour de lui pour s’apercevoir qu’un couchage était vide et ce couchage était celui de la princesse. Il réveilla les autres en criant, la panique au ventre car jamais il ne s’était endormi pendant son tour de garde.